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On est parfois malheureux...

Et dans ce cas de figure il ne faut pas s'y complaire, le mal byronien n'est pas à garder en soi, ne nous reposons pas dans nos orties.


Et si le malheur c'était nous même au fond?


Que pourrions nous y faire?


N'y pensons pas et battons nous perpétuellement contre nos vieux démons dans ce cas de figure, on ne finiras alors que plus victorieux dans les moments de joies que nous trouverons sur notre chemin, aussi rares soient ils!



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